COMMUNIQUÉ DE PRESSE - UN DOCUMENT AMÉRICAIN DÉVOILE UN PROJET DE SABOTAGE ÉCONOMIQUE DU GOUVERNEMENT TRUDEAU CONTRE LE QUÉBEC
Saint-Eustache - le 25 février 2021. Un document déclassifié du Département d’État américain et rédigé par l’ancien ambassadeur américain Thomas Enders vers la fin de l’année 1976, fait état de conversations tenues avec le Premier ministre Pierre-Elliott Trudeau où celui-ci lui aurait déclaré avoir demandé à monsieur Paul Desmarais de nuire «le plus possible» à l’économie québécoise et de provoquer un taux de chômage pouvant atteindre 15 % et plus.
Cette conspiration économique n’avait comme seul objectif de discréditer le gouvernement de René Lévesque récemment élu en novembre 1976 et qui proposait de tenir un référendum sur la souveraineté du Québec durant son mandat. Cette conspiration aurait eu pour effet de démontrer aux Québécois qu’un gouvernement souverainiste n’avait pas les compétences nécessaires pour mener à bien l’indépendance du Québec.
Le Rassemblement pour un pays souverain dénonce cette machination immorale et anti-démocratique où le gouvernement canadien de Pierre-Elliott Trudeau a cherché à faire mal à l'ensemble de la population du Québec de toutes allégeances politiques.
Le président du RPS, monsieur Benoît Roy, affirme «que le dévoilement de cette preuve irréfutable du gouvernement américain, montre à quel point le camp fédéraliste n’a cessé de combattre le nationalisme québécois en utilisant les tactiques les plus viles que la nature humaine puisse connaître. Les fédéralistes n’ont qu’un seul guide : la fin justifie les moyens.»
Une autre preuve de la haine du camp fédéraliste vis-à-vis le nationalisme québécois : l’ancien Premier ministre Bernard Landry dévoilait en novembre 2003 au journal Le Devoir, ce que son ancien professeur de droit à l’Université de Montréal, Pierre-Elliott Trudeau avait déclaré devant toute la classe d’élèves : «Comment veux-tu que l’indépendance donne du génie à un peuple qui n’en a aucun ?».
Tout comme lors du Référendum volé de 1995 par le camp du NON et le scandale des commandites, le gouvernement du Canada aura prouvé à nouveau, que son respect pour la démocratie qu'il se targue comme donneur de leçon à l'international, ne tient plus quand il s'agit de respecter le choix démocratique du peuple du Québec.
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Source : Benoît Roy, président du Rassemblement pour un pays souverain